Expérience fortissme que celle de la naissance d’un enfant, d’autant plus intense lorsque vous risquez d’y laisser votre peau et celle de votre bébé tant désiré.
Il y a un peu plus de dix jours, je suis entrée à l’hôpital en urgences…Avec des symptômes assez pénibles.
En effet, j’avais la tête de Boris Eltsine dans le corps de Bibendum premier…Le tout avec une impression de tension portée à son paroxysme.
Deux jours d’attente, d’examens hyper poussés, de crises de sommeil aigûe comme si la mouche Tsé Tsé s’était penchée sur mon berceau…Et autres petits désagréments dont je vous épargne les détails.
Au fur et à mesure de ces longues journées d’attentes, j’ai vu un nombre de femmes défiler dans ma chambre double… Toutes se plaignaient de maux divers, certaines gémissaient plus que d’autres, et moi je restais là, stoïque et confiante ne sachant rellement ce qui m’attendait.
Ndlr, je suis d’ailleurs la seule à être restée à l’hôpital… Comme quoi , ce ne sont pas celles qui font le plus de bruit qui souffrent le plus…